Deux poèmes et une prose !
Je vis, je meurs : je me brûle et me noie.
Tu nages dans l'eau qui ne mouille pas
J'aime nager .. sans me mouiller !
J'ai chaud extrême en endurant froidure :
Tu as froid à la recherche d'une couverture
J'aime le froid .. mais je cherche la couverture !
La vie m'est trop molle et trop dure
Ta vie t'as rendue folle, zélée d'amour
Folle et zelée d'amour .. peut être bien ?!
J'ai grands ennuis entremêlés de joie :
Tu as une grande phobie en toi
Qui d'entre nous n'en a pas !
Tout à un coup, je ris et je larmoie,
Tu changes le ton et le sens de ta voie
Je suis entrain de la chercher .. ma voie ...
Et en plaisir maint grief tourment j'endure;
Tu souffres, tu ripostes, tu taquines et tu pleures
OUI .. sans doute !
Mon bien s'en va, et à jamais il dure;
Ton mal reste caché dans ton coeur
Mon mal .. mes peurs .. phobies .. enfouis et entremêlés ..
Tout en un coup, je sèche et je verdoie.
Avec tes pleurs, tu te rinces et tu te nettoies
Mes larmes .. me sont chères !
Ainsi Amour inconstamment me mène;
A moitié chemin entre les dunes et les plaines
Il me reste beaucoup de chemin à faire .. avant d'arriver à la terre ferme ...
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Tu prends ta chatte pour cacher ton malheur.
Oui mais elle m'apporte tellement de joie .. de bonheur ...
Sans y penser je me trouve hors peine.
Tu penses que tu es hors jeu et hors scène
J'ai tendance à le croire mais je sais que je suis en plein tournage !
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et qui peut comprendre ton moi et ton émoi sans haine
Je n'ai pas encore rencontré .. la haine !
Et être au haut de mon désiré heur,
Tu t'en fous de moi et de nos heureuses heures,
L'indifférence n'est pas mon point fort !
Il me remet en mon premier malheur.
Et tu seras la dernière à jeter le chiffon sur ton coeur.
Ah ça .. je ne le sais pas ...
Tu nages dans l'eau qui ne mouille pas
J'aime nager .. sans me mouiller !
J'ai chaud extrême en endurant froidure :
Tu as froid à la recherche d'une couverture
J'aime le froid .. mais je cherche la couverture !
La vie m'est trop molle et trop dure
Ta vie t'as rendue folle, zélée d'amour
Folle et zelée d'amour .. peut être bien ?!
J'ai grands ennuis entremêlés de joie :
Tu as une grande phobie en toi
Qui d'entre nous n'en a pas !
Tout à un coup, je ris et je larmoie,
Tu changes le ton et le sens de ta voie
Je suis entrain de la chercher .. ma voie ...
Et en plaisir maint grief tourment j'endure;
Tu souffres, tu ripostes, tu taquines et tu pleures
OUI .. sans doute !
Mon bien s'en va, et à jamais il dure;
Ton mal reste caché dans ton coeur
Mon mal .. mes peurs .. phobies .. enfouis et entremêlés ..
Tout en un coup, je sèche et je verdoie.
Avec tes pleurs, tu te rinces et tu te nettoies
Mes larmes .. me sont chères !
Ainsi Amour inconstamment me mène;
A moitié chemin entre les dunes et les plaines
Il me reste beaucoup de chemin à faire .. avant d'arriver à la terre ferme ...
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Tu prends ta chatte pour cacher ton malheur.
Oui mais elle m'apporte tellement de joie .. de bonheur ...
Sans y penser je me trouve hors peine.
Tu penses que tu es hors jeu et hors scène
J'ai tendance à le croire mais je sais que je suis en plein tournage !
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et qui peut comprendre ton moi et ton émoi sans haine
Je n'ai pas encore rencontré .. la haine !
Et être au haut de mon désiré heur,
Tu t'en fous de moi et de nos heureuses heures,
L'indifférence n'est pas mon point fort !
Il me remet en mon premier malheur.
Et tu seras la dernière à jeter le chiffon sur ton coeur.
Ah ça .. je ne le sais pas ...
Deux vues : Louise labé ( Je vis, je meurs : Oeuvres, 1555) ; Mchicha
et un regard : El Bachir boukhairat
et un regard : El Bachir boukhairat